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Chers lecteurs,

 

On triche un peu et on prend l'avion.

Avant notre décollage de Bangkok, nous n'avions pas quitté la terre ferme depuis Saint-Pétersbourg. Wouahhh ! Cela fait une trotte ! Tout ce chemin depuis la Russie en passant le desert du Gobi, la muraille de Chine, l'opéra de Hanoï, le Mékong, Angkor : vu comme ça c'est grandiose. Et pourtant on a du mal à s'imaginer qu'on a fait tout cela et qu'on y était.

 

Au fil de notre route, les paysages, les gens et l'ambiance ont changé petit à petit. Mais maintenant que nous trichons un peu en prenant l'avion, à notre arrivée à Katmandou le changement est radical, fini les chaleurs de 30°C, place à la fraîcheur des montagnes Himalayennes. On est vite mis dans l'ambiance dès notre sortie de l'aéroport, les rues sont un vrai bordel comme en Asie du sud-est mais ici aucune organisation.

Enfin, les routes de Katmandou ne ressemblent en rien à des rues d'une capitale. Goudronnées certes mais remplies de nid de poule. On pourrait les comparer davantage à un chemin qu'à une route. Assez vite, on est pris dans un nuage de poussière qui ne nous quittera plus avant notre trek d'ici quelques jours.

 

À Katmandou, nous avons plusieurs choses à faire : l'obtention du visa indien, préparer notre trek pour le tour de l'Annapurna, rencontrer notre contact pour notre projet avec les écoles et visiter la ville si nous avons le temps.

 

Dès notre arrivée, nous nous penchons sur nos visas indiens et très vite on comprend la galère qu'on va devoir traverser. À l'ambassade, il demande de préremplir un dossier sur internet, de l'imprimer et de se présenter le lendemain pour le faire valider. Puis, il faut attendre une semaine pour revenir avec son passeport pour obtenir son visa. Ne voulant pas perdre trop de temps dans la capitale à attendre notre visa, on décide de passer par une agence qui s'occupera de tout moyennant bien sûr une commission mais le prix du visa indien au Népal la commission est inférieure au prix du visa indien en France donc on peut se permettre ce petit service de luxe.

 

Maintenant nous nous occupons de notre trek, pour cela, il faut obtenir le droit d'entrée dans le parc naturel des Annapurna. Rien de plus simple, petit passage au bureau de la montagne à Katmandou.

Mais dans l'après-midi, je me suis rendu compte en cherchant d'autres infos sur internet qu'il nous faut un permis de trek, la fameuse carte TIMS. Elle s'obtient au même bureau que le droit d'entrée qui ferme à 16h ou 17 h. Il est 16 h, tant pis on fonce au bureau mais une fois sur place les bureaux sont fermés.

On nous renseigne que le bureau est fermé le lendemain samedi, ce qui repousse notre départ à dimanche après midi voir Lundi. Je suis abattu, ce type d'information j'aurais pu le savoir mais dans un périple comme le nôtre il est difficile de tout préparer à l'avance, ce genre de mésaventure arrive et nous oblige à rester sur Katmandou tout un week-end.

Ainsi le lendemain, on decide d'anticiper un peu pour réserver nos billets de bus pour Besisaha, ville où part notre trek. Et encore une fois, une mauvaise nouvelle tombe : pas de bus locaux à partir de lundi car mercredi c'est les élections pour créer une assemblée constitutionnelle. Ainsi, les conducteurs de bus sont en grève durant les élections pour se protéger d'éventuelle agression des maoïstes opposés à ces élections. Ainsi pour nous tout tombe à l'eau, pas de trek du tour de l'Annapurna qui nous aurait permis de monter jusqu'à 5400 m. Le moral est vraiment bas car depuis longtemps, on parlait de ce trek, on en rêvait et tout tombre à l'eau.

 

Ne sachant pas trop quoi faire, pour se changer les idées, nous rencontrons notre contact francophone qui tient également une agence de trekking.

Très vite la discussion tourne au sujet des élections qui bloquent le tourisme à cause des bus en grève. Pour lui aussi, cela pose un problème. Devant aller au village pour voter, il est obligé de prendre une jeep et il n'est pas sur d'arriver à bon port.

Devant notre déception, il nous propose de changer de trek et de faire le sanctuaire de l'Annapurna et de monter au camp de base. Il nous propose de prendre un porteur avec lui, qu'on aura que le porteur à payer et il se charge de prendre notre carte TIMS (qu'on n'a pas encore achetée) et de réserver le bus (seul des bus touristiques circulependant les élections, effectuant le trajet Katmandou/Pokara d'où on peut commencer le trek du sanctuaire des Annapurna).

La proposition ne peut être que la bienvenue, certes nous devrons suivre quelqu'un mais au moins nous pourrons partir de Katmandou. De plus, notre contact, nous invite après le trek à passer quelques jours chez lui et il nous promet de nous faire rencontrer des élèves qui apprennent le français.

Nous retrouvons ainsi le moral et nous goûtons à l'hospitalité népalaise.

 

Nous repartons ainsi l'esprit tranquille, tout est réglé et la seule chose qui nous reste à faire : visiter Katmandou.

Ainsi, une journée bien chargée, nous suffira pour sa visite. Tout d'abord Durbar Square, place centrale de Katmandou devant le palais royal et où de nombreux temples y sont construits. Dans ce lieu classé à l'UNESCO, un vrai bazar, les voitures, les enfants, les vendeurs ambulants mais surtout les vaches sacrées se mélangent, ce qui fait le charme de ces lieux.

Puis nous montons à Swayambhunath où se trouve perché sur une colline un impressionnant stupa. La vue sur Katmandou est sublime mais pour la première fois depuis notre séjour dans la capitale, nous apercevons au loin les sommets enneigés de l'Himalaya.

Demain nous partons à leurs rencontres

 

À bientôt

 

 

Anthony

Envoyée le 17 Novembre 2013 de Katmandou

Népal

Cher lecteur;

 

Il est 6h30 du matin, nous avons rendez-vous en bas de notre hôtel avec notre porteur afin de prendre un bus pour rejoindre le départ de notre trek. Il s'agit du sanctuaire des Annapurna à défaut du tour … Antho vous a expliqué.

À notre grande surprise, il n'y a pas une personne qui nous attend mais deux. Du coup, pour le prix d'un, nous nous retrouvons avec un guide et un porteur !

Après 5h de bus touristique bien rodé avec pause pipi et lunch time jusqu'à Pokara, puis 1h30 de taxi, nous arrivons à Nayapul : le départ. Nous n'aurons que 30 minutes de marche pour arriver dans notre premier lodge à Birethani.

 

Le trek commence officiellement avec seulement un sac à dos chacun, ce qui est assez agréable, tandis que notre porteur a notre gros sac. Au bout de 2 heures à peine, nous avons en théorie terminé notre première journée de trek. Evidement, nous demandons au guide de continuer jusqu'à la prochaine étape.

Chetup, notre contact, nous a fait un itinéraire approximatif mais selon lui chaque étape fait 5h de marche. Nous en avons fait deux en 4H ! Le temps d'une pause déjeuné et nous nous voilà reparti jusqu'à la prochaine étape qui sera la dernière pour la journée : Gorepani. Nous sommes arrivés en fin d'après-midi mais en même temps nous sommes là pour marcher. Surtout que les lodges sont rarement chauffés ou seulement avec un poêle au milieu de la pièce. Rien de grave, nous sommes en montagne, mais nous ne voulions pas arriver trop tôt car on se refroidit vite.

Du coté de notre guide c'est une autre histoire. Mim' notre porteur devenu guide avait déjà du mal à suivre, mais Lems'' qui est devenu porteur était pour le moment en forme et il voyait le trek comme un challenge : toujours plus vite, toujours plus haut !

Mais franchement, nous avons croisé plein de gens qui marchaient autant que nous voir plus !

Sans rancoeur, ils nous proposent de gouter leur alcool local.

 

Le lendemain, jolie étape en perspective avec le lever de soleil sur Poon Hill (3100 m) avec vue sur la chaîne Himalayenne. Juste magnifique ! Il y avait un peu de monde mais le moment était tout de même sympa .

Ensuite, nous voilà reparti pour une bonne journée de marche. Nos guides ont commencé à traîner la patte, à être beaucoup moins motivé mais Min' sait que le client est roi alors il suit.

Lors de cette journée de trek, nous avons rencontré des Français : 3 nanas et un couple de retraités très en forme ! Ils seront notre fil rouge pour la suite du trek. En effet, nous allons nous voir, nous laisser, nous retrouver tout le long et même sur Pokara !

 

C'était amusant. Mais avant, il nous fallait trouver une solution avec nos guides. Nous voyons bien qu'ils ralentissent pour ne pas avancer trop vite. Nous sommes d'accord que Lems' a notre sac à dos à porter mais franchement nous n'avons pas été vaches car notre sac à dos est loin d'être lourd par rapport à ce que nous avons pu voir.

Certains porteurs ont 3 sacs sur le dos ! Et nous savons que les étapes que nous voulons effectuer sont largement faisable car justement les Français rencontrés les font et sans porteur !

Plus le temps passe et plus on se sent mal vis-à-vis d'eux. Nous avons payé 7 jours en avance mais nous sentons bien que ça va être difficile. Effectivement nous n'avons pas de sac à porter mais nous ne nous sentons pas libres d'avancer comme on le souhaite.

La soirée nous a permis de faire plus ample connaissance avec Catherine et Philippe, un couple retraité qui marche énormément . Nous avons logé dans le même lodge et nous avons passé la soirée ensemble.

Alors je dis soirée, c'est un bien grand mot ! Ici, il fait nuit à 17H, la soupe est servie à 18H30 et donc à 21h nous sommes au lit ! 21H je suis large !

 

Cette fois-ci trop c'est trop ! Nous sommes parti depuis demi-heure que nous voilà déjà arrêté. Il a déjà fallu attendre que messieurs terminent leurs petits déjeuner et maintenant nous attendons que l'un d'eux fume sa cigarette. Notre objectif de la journée se voit s'effondrer au fur et à mesure. Énervée, je lance un ultimatum : soit nous marchons à un rythme correct, soit ils rentrent et nous poursuivons le trek seul.

C'est donc à midi que nos routes se séparent. Nous avions payé 7 jours de trek auquel nous avons rajouté 1 journée supplémentaire pour qu'ils puissent rentrer sur Katmandou et nous leur avons donné un pourboire chacun. Je pense qu'on a été sympa !

Nous n'avons pas pu parler à notre contact, nous lui parlerons à notre retour. Notre contact a voulu nous aider en nous proposant un porteur. À la sortie nous nous sommes retrouvé avec deux copains. Ce n'était pas très cool de les lâcher en route mais je pense vraiment qu'ils n'étaient pas très coopératifs.

 

Bref, il est midi, nous voilà enfin seul et libre mais avec des kilos en plus ! Eh oui, Antho se retrouve avec le gros sac à dos et moi avec le petit (mais bien lourd quand même!). Nous avons bien marché et monté pour nous retrouver cette fois-ci avec les 3 nanas rencontrès la veille. Nouvelle soirée à papoter devant une soupe bien chaude (il n'y a que ça de chaud!).

 

Nous nous rapprochons de plus en plus du sanctuaire, les paysages changent de jour en jour entre la vue au loin des montagnes géantes, le passage dans la forêt ou encore le long chemin dans la vallée pour enfin avoir l'impression d'être au pied des ces géants Himalayens.

 

Nouvelle journée de marche qui sera plus cool car nous arrivons au MBC, le Machhupuchhare Base Camp pour midi, nous sommes déjà à 3700 m d'altitude. N'étant jamais monté aussi haut, nous avons préféré rester ici pour la nuit afin de s'acclimater au peu pour pouvoir monter au ABC (Annapurna Base Camp) sans trop de difficulté.

 

Le lendemain matin, nous atteignons ABC vers 8 h, le temps est magnifique. En chemin, nous croisons pas mal de personnes ayant fait le lever de soleil sur place et certain ayant dormi en haut. Nous avons ainsi revu les filles et notre couple ! Mais lorsque nous arrivons sur place nous étions seul. Magique ! Nous étions entouré de tous ces sommets de plus de 7000m voire 8000 m. Nous voilà à 4130 m d'altitude déjà et pourtant encore tellement loin des Annapurna !

 

Il est temps pour nous de redescendre. Les cuisses et mollets ont encore bien travaillé . La descente est presque plus difficile que la montée . Nous n'avons pas trop traîné car le petit hic de ce trek, c'est que tu fais un aller-retour, en tout cas sur une partie du trajet. Nous avons partagé une nouvelle soirée en compagnie de Catherine et Philippe, et nous voilà de retour à Birethani pour manger un crud ! C'est du fromage blanc mais avec du sucre ça devient un dessert !

 

Dernière nuit en lodge puis retour sur Pokhara en bus local... toute une histoire encore... nous sommes resté la plupart du temps debout avec la musique folklore à fond et les poules qui chantent! Nous sommes de retour dans la vie bruyante ! Adieu latranquillité de l'Himalaya.

 

Voilà, nous avons passé une semaine dans les montagnes, à dormir dans des lodges, à parfois avoir un peu froid mais c'était une semaine de plein air, à admirer de beaux paysages, à regarder des immenses montagnes majestueuses. À regarder aussi de belles cultures en terrasses qui donnent l'impression d'être dans des rizières ! À rencontrer des ânes, des buffles... et à dire NAMASTE toute les 2 minutes mais quel bonheur !

 

Allé je vous laisse, une douche chaude m'attend !

 

À bientôt

 

 

Véronica

Envoyée le 26 Novembre 2013 de Pokhara

Chers lecteurs;

 

Après une douche bien chaude, nous avons deux jours devant nous pour visiter Pokhara.

Mais l'envie de se promener et surtout de marcher, ne nous réjouitpas. Ainsi nous passerons une journée à se reposer et c'est qu'à la seconde qu'on se motive un peu.

Pas grand-chose à voir dans cette ville. La pagode de la paix située sur une colline, monter des marches, on oublie.

En revanche, de nombreux camps tibétains sont éparpillés un peu partout dans la ville. L'occasion pour nous de voir comment vivent ces gens. Tous les villages de réfugiés sont construit autour d'un temple, le seul endroit où nous trouvons un peu de l'agitation. Le reste du village reste fantômes. Les maisons se ressemblent toutes, en dure en forme de cube attenant les unes aux autres. Toutes colorées au bon vouloir du propriétaire ce qui donne un peu de gaiter au village. Au détour d'une rue, nous rencontrons un groupe de fillettes jouant à cache cache.

 

Le trek nous a un peu épuisés, mais nous devons repartir sur Katmandou où une longue liste "À FAIRE'', nous attend : récupérer le sac que Véro a laissé au guide, récupérer nos passeports, mettre en place notre projet dans une école Népalaise et attendre Romain et Aline, des amis qui nous rejoignent pour faire l'inde ensemble.

 

Dès notre arrivée à la capitale après un long trajet rallongé de 2h à cause d'une manifestation, nous nous rendons chez notre contact pour récupérer le sac à dos de Véro. bien sûr, nous y allons pas très confiants vu que le guide nous avait quittés plus tôt.

Dès notre arrivée, la discussion s'orienta autour du guide, nous lui avons présenté nos excuses et nous lui avons expliqué le pourquoi du comment tout en défendant son guide. On sentit que nous l'avions vexé, et nous avons fait une croix sur l'hébergement de notre contact qui officieusement hébergeait quelqu'un d'autre.

À la base, nous souhaitons que cette personne nous aide à mettre en place notre projet, puis maintenant il peut plus nous aider, il ne connaît personne et nous envoi à l'alliance française qu'on avait déjà contacté avant notre départ.

On l'a vraiment vexé et on peut le comprendre.

Et pourtant nous avons été réglo avec son guide, on lui a fait une proposition, soit on continue à notre allure (c'est-à-dire on fait un trek, pas une promenade du dimanche) ou soit il nous quitte. Le guide a choisi de nous quitter.

Puis financièrement nous avons payé 8 jours alors que le guide est resté avec nous seulement 3 jours, à cela nous comptons 3 jours pour rentrer sur Katmandou soit deux jours offerts de notre part. En plus de cela, nous avons été réglo également avec le pourboire qu'on a donné aux porteur et au guide alors qu'à la base une seule personne devait nous accompagner. Au total 30$ de pourboire, pour trois jours de trek sans satisfaction, tout le monde nous le dira, c'est un beau pourboire.

Après tout ça on nous apprendra que nous n'avons pas été cool. Ok, on s'est lâché d'un poids, d'un guide/porteur incapable de monter une montagne, marchant les mains dans les poches. Pas très professionnelle.

Et pour couronner le tout, nous découvrirons à l'ouverture de notre sac, qu'il nous manque du papier toilette (si c'était que ça !) et surtout un T-shirt à Véro (surement pour offrir à sa copine).

 

Nous repartons avec le sentiment d'avoir été un peu mené en bateau, notre contact a eu ce qu'il voulait c'est-à-dire nous vendreson trek (certes à un prix vraiment d'ami) et maintenant on se débrouille pour mettre en place notre projet.

Nous partons donc à l'alliance française où nous sommes accueillis chaleureusement. Le réceptionniste se démène comme il le peut pendant une matinée à nous trouver des élèves, à passer des coups de fil. Puis il trouve enfin ce que nous cherchions, une prof de français dans une école à Katmandou. Nous la rencontrerons seulement 2 jours plus tard.

 

Pour l'heure, nous avons le temps de visiter un peu les alentours de la capitale. Tout d'abord le grand stupa de Bodnath, la plus grande stupa d'Asie. Mais ce qui nous a le plus fasciné, ce sont ces temples tibétains autour du grand stupa. Nous y sommes allé pendant le temps de midi en pleine prière. Les prières sont rythmées par des chants sacrés.

Puis nous nous rendons à Durbar Square à Patan, le mêmeDurbar Square de Katmandou mais bien plus tranquilles et avec moins d'agitations. Bien incroyable au Népal et plus particulièrement à Katmandou toutes les ruelles touristiques sont payantes, ainsi si vous allez à Durbar Square vous devez payer environ 6€ (c'est cher pour le pays), c'est comme si en France, on devait payer pour visiter le vieux Lyon. Mais il y a de nombreux passages secrets...

 

Pour finir, nous retournons à l'alliance française où nous rencontrons Maya, une prof de français à Katmandou. Elle enseigne à des adultes mais également à des enfants dont l'âge nous convient pour notre projet. Encore une fois, nous ne pouvons rencontrer les élèves par manque de temps. Mais Maya est enthousiasmée par notre projet et elle se servira des lettres pour noter ses élèves en expression écrite.

 

Hier, nous avons retrouvé notre couple d'amis, début d'une nouvelle aventure à quatre. Nous nous sommes donner rendez-vous ce matin à 4h30 pour prendre le bus direction la frontière indienne.

Mais ce matin, je me lève alors que le réveil n'a pas encore sonné. Je regarde l'heure 4h18, le temps que je réagisse Véro était déjà debout et filait aux toilettes, nous avions 12 minutes pour rejoindre nos amis. En à peine 2 minutes, nous partions la " tête dans le cul ". Le temps que je ferme la porte de la chambre, Véro était déjà parti et descendu les escaliers, je la retrouve très rapidement en bas des escaliers affalée dans les fleurs, elle se relève, elle boite mais arrive à poser le pied par terre au bout de quelques pas...ouf ! On a échappé au pire.

 

Nous quittons le Népal très content, malgré notre problème avec notre guide. La nourriture, les gens, les paysages, tout est réuni pour passer un agréable moment. Avec Véro, on est d'accord trois semaines au Népal c'est court même pour un si petit pays, il y a tellement de choses à faire et Ã  découvrir.

 

 

À bientôt

 

Anthony

Envoyée le 04 décembre 2013 de Katmandou

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