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Chers lecteurs,

 

Enfin, nous changeons de continent. Bien que l'Asie reste un continent riche en culture, nous commencions à saturer de ses temples et de ce riz dans tous les plats.

Direction l'Australie, pour retrouver un peu de notre Europe et surtout le soleil australien. Et cela tombe bien, dès notre arrivée à Melbourne, la grisaille nous attendait, il a même fallu sortir nos polaires. Mais notre passage à Melbourne fut bref, juste le temps de remonter dans un avion pour la Tasmanie, une île juste au sud de l'Australie. À notre arrivée le temps n'est guère mieux : gris, vent et pluie.

 

Cette fois, nous cassons la tirelire et nous changeons notre mode de transport, nous louons un van pour faire notre Road Trip australien.

Ainsi, après avoir récupéré notre van blanc (pas très flashe), nous retrouvons nos petites habitudes de France, nous faisons les courses. Même après 6 mois ensemble, nous arrivons toujours pas à nous mettre d'accord sur les choses à mettre dans le caddie.

 

Notre première journée australienne est aussi l'occasion de fêter l'anniversaire de Véro. Pour elle, pas de cadeau mais une belle vue sur les plages de tasmanie et au menu une boîte de conserve (ok, ce n'est pas romantique mais 6 mois sans préparer à manger, c'est un luxe pour nous) puis j'ai fait la vaisselle).

Après notre première nuit dans notre van, nous nous élançons sur les routes tasmanes et très vite nous croisons nos premiers kangourous : mort sur le bord de la route. Notre première escale est le Tasman National Park où nous profitons de ces points de vue sur la mer en haut des falaises. C'est fou comme le paysage change vite en Tasmanie, à peine nous quittons la côte sur 1 km à l'intérieur des terres, nous retrouvons le paysage yssingelais.

 

Deux jours après l'anniversaire de Véro, c'est Noël... et pour la première fois, nous nous retrouvons loin des nôtres mais pour compenser ce grand manque, nous dormons à Friendly Beach, une plage au sable blanc, à l'eau turquoise et surtout les premiers kangourous vivants. Ils sont sauvages donc impossible des s'en approcher mais les voir sauter devant nous, nous sommes retournés en enfance.

Nous avons énormément de mal à nous dire que c'est Noël, pas de neige, loin des nôtres... nous sommes loin de tout ça.

Ainsi le jour de Noël, nous profitons d'une petite balade à Freycinet National Park avec une des plus belles plages du monde Wineglass Bay, l'occasion pour nous également de voir un père Noël sur la plage en maillot de bain.

 

Nous quittons par la suite la côte Est pour le centre de l'île et plus particulièrement le Cradle Mountain Lake Park. Ce parc est un ancien glacier auquel il ne reste aujourd'hui que des lacs dans la montagne. Ainsi, la vue sur les lacs depuis le haut de Cradle Mountain est époustouflante.

Après avoir visité Cradle Mountain, nous nous sommes rendu vers la côte Ouest en traversant des campagnes et même une vallée minière. Puis nous sommes arrivés sur une plage sauvage avec les dunes comme celle du Pilat.

Cette journée est l'image même de la Tasmanie avec ses paysages variés : le matin nous étions dans les alpes "Cradle Mountain'" et le soir nous dormions à la dune du Pilat, tout ça en moins de 2 heures de route.

 

Avant notre retour sur la capitale de l'île, Hobart, nous nous arrêtons au premier parc national australien créer en 1917 : MountField National Park. Dans ce parc, nous retrouvons un peu les paysages dans le film Jurasik Parc avec les grands eucalyptus et des énormes fougères.

 

D'Hobart, rien de spécial à dire, ville portuaire, tournée sur la mer.

Mais avant de partir, nous nous rendons dans un refuge pour animaux malades afin de pouvoir observer de plus prés toutes ces petites bêtes que nous n'avons pas chez nous : Kangourou (on a eu le droit de leur donner à manger), Womba, Emeu (autruche australienne), perruche... et surtout le koala. On était comme deux enfants dans un zoo.

 

Je profite de cette dernière nuit dans notre van garé en haut d'une colline surplombant Hobart pour vous parler de notre première expérience avec le van. C'est un changement radical de mode de voyage. L'avantage est la liberté de bouger comme on le souhaite mais nous ne pouvions pas dormir comme on le veut. En tasmanie, il y a beaucoup d'endroits où le camping sauvage est interdit. Ainsi, il a été difficile pour nous pendant une semaine de trouver un coin où dormir tranquillement. Nous sommes arrivés à trouver tous les soirs mais les coins n'étaient pas toujours adaptés comme un soir où on a dormi au bord d'une route car nous ne trouvions rien. Cependant, les Australiens font beaucoup de campings et il y a des zones emménagées (WC, douche....) gratuites mais il faut les trouver, chose qu'on a réussie sur Friendly Beach pour Noël.

Autre chose qui fut difficile pendant cette semaine en Tasmanie et l'accès à Internet qu'on a eu du mal à trouver. Au moment de fêter Noël, ne pas avoir internet pour parler un peu à la famille est très frustrant.

 

Voilà, à part ce petit problème d'adaptation en mode Van, la Tasmanie est un petit paradis sur terre. En quelques mots, c'est un lieu qui te permet de changer de décors au bout de 10 kilomètres seulement.

 

On reprend l'avion demain, direction Sydney et son célèbre Opéra, pour fêter la nouvelle année.

 

 

À bientôt

 

Anthony

Envoyée le 29 décembre 2013 d'Hobart

Australie

Cher lecteur,

 

Nous arrivons à Sydney via l'aéroport ( nous étions en Tasmanie auparavant), nous en profitons pour regarder nos mails grâce à internet gratuit ! Eh oui, en Van, nous n'avons pas souvent l'occasion d'avoir internet.

Puis, il est temps pour nous d'aller récupérer notre nouveau van ; Il sera notre maison pendant tout notre séjour en Australie. D'ailleurs, il est plus équipé que celui de Tasmanie et tant mieux !

 

Le van ; nous sommes allés le chercher directement à notre arrivée sur Sydney, soit le 30 décembre, pas vraiment par choix mais plutôt par obligation. Je m'explique : depuis le début de notre projet, notre objectif était d'être à Sydney pour assister au célèbre feu d'artifice du jour de l'an, mais nous ne sommes pas les seuls !3 mois avant, les hostels ou Guesthouses... sont déjà tous complets à Sydney et mêmes ailleurs !

Du coup, pas le choix, nous avons récupéré le van en arrivant ; Le hic, c'est de trouver où mettre le van à Sydney. Antho a trouvé un groupe Facebook : sleeping map in australia, super cool, qui nous a permis de connaître les bons plans pour dormir.

Nous avons trouvé un emplacement près d'un parc, pas très loin du centre à pied et avec douche gratuite et Chaude ! Lorsque nous sommes arrivés, il y avait plein d'autres vans, donc nous nous sommes dit : Parfait ! Mais en fait, la rue n'était pas payante mais nous ne pouvions rester que 2 heures au même emplacement en journée. Les rangers passent régulièrement, nous avons une la surprise de voir notre véhicule marqué à la craie sur le pneu. En gros, un ranger passe, note l'heure sur les véhicules et revient 2 heures plus tard, si tu n'as pas bougé : contravention ! Nous avons dû revenir régulièrement pour effacer les marques du van, nous avons fini par nous déplacer dans une rue non loin et moins surveillée. 

 

Nous avons visité la ville, avec son opéra, l'Harbour bridge de jour et de nuit ! Nous avons également visité les petits quartiers comme le Rock, c'est ici que les colons européens sont arrivés, ou encore Kings cross avec son immense enseigne Coca Cola.

Antho a gagné des belles ampoules aux pieds! Eh oui, pas bien d'utiliser de nouvelles chaussures et de marcher en ville ! Déjà que c'est éprouvant avec de vieilles chaussures alors des neuves... aie aie !

 

Les parcs et les quais de Sydney sont également très agréables. Nous sommes aussi allé voir Bondi beach : c'est la plage de Sydney et elle est bondée ! Il y a beaucoup de courants, ainsi l'espace de baignade se réduit à quelques mètres et les gens sont entassés.

 

Sydney, c'est aussi pour nous le moment de préparer le jour de l'an. Nous avons mangé dans un restaurant japonais, évidemment pas de foie gras ou huîtres cette année ! Mais saumon et viande rouge quand même et aussi un délicieux dessert au chocolat ! Dans l'après-midi, nous avons acheté un peu d'alcool et une petite bouteille de champagne dans un liquorshop car ici les supermarchés ne vendent pas d'alcool, il faut aller dans des endroits spécialisés.

 

Nous voulions nous mettre sur un « spot » pour admirer le feu d'artifice mais malheureusement, ils n'autorisaient plus les gens à rentrer ( trop de monde) ; nous étions donc un peu à l'écart, mais nous avons quand même pu voir une partie du feu et vivre le jour de l'an à Sydney, comme prévu.

Je dis une partie de feu, car il y en a 7 le long de la baie, tirés en même temps. Pour avoir une place de choix, il aurait fallu s'installer sur un « spot » le matin et rester toute la journée au soleil pour attendre minuit. Nous voulions quand même visiter la ville et comme je vous ai dit, nous devions retourner au Van la journée. 

 

Après Sydney, nous prenons la route direction les Blues Mountains qui sont des montagnes avec de profondes gorges, et des forêts d'eucalyptus qui avec l'évaporation de leur huile, donnerait une couleur bleutée aux montagnes... Mouais...

 

Sur la route, il y avait pas mal de bouchons et énormément de monde sur les sites touristiques, nous avons dû trouver un camping pour la nuit. L'avantage en Australie, c'est qu'il existe un catalogue ( fourni avec le van) où sont répertoriés tous les campings payants et aussi gratuits. Nous en avons trouvé un dans le Bush, au fond d'une vallée. L'endroit était sympa et surtout nous avons marché quelques mètres dans la forêtet nous avons vu des kangourous ! J'étais ravie ! 

 

Le lendemain, nous avons fait le choix de nous limiter à une seule vallée, moins touristique, mais malheureusement, il y avait du brouillard. Nous n'avons pas vu grand-chose. C'est le jeu, on ne peut pas avoir beau temps tout le temps ! 

 

Nous poursuivons notre route direction la capitale d'australie : Canberra. Capitale planifiée plus qu'historique. C'est une ville agréable, bien plus petite que ses voisines ( Sydney et Melbourne). Elle a l'avantage de proposer un grand nombre de musées gratuits. Nous avons ainsi fait un musée d'Art et un musée d'histoire.

Il y a également le parlement et les chambres de représentant ouverts au public et gratuit.

 

Nous avons également vu l'ambassade Aborigène :c'est-à-dire une caravane... et une boîte aux lettres !

La ville n'a rien d'extraordinaire mais reste agréable. Ce qui est surprenant pour une capitale, c'est que du centre-ville on aperçoit déjà les montagnes alentour ! 

 

Nous n'avons pas pu dormir en ville car les campings étaient complets ( festival de voitures pendant trois jours), nous étions donc à l’extérieur, ce qui m'a permis de voir... devinez quoi ??!! des kangourous ! Et oui, encore !

 

Allez je vous laisse, il nous faut reprendre la route.

 

 

À bientôt

 

Véronica

 

Envoyée le 05 janvier 2014 de Canberra

Chers lecteurs,

Après notre visite de Canberra, capitale au milieu de Nul-part. Nous traversons ce Nul-part, direction Portland et plus particulièrement de la Great Ocean Road. Si je dis Nul-part c'est qu'il n'y a rien durant ces 1000 km.

Même si en France, j'avais l'habitude de faire 600 km (Thionville-Yssingeaux) d'un trait (sans arrêt). Ici en van, nous avions décidé de le faire en trois jours afin de profiter un peu du paysage.

Paysage ? Quel paysage ? Il n'a pas changé pendant ces trois jours, du plat, des champs d'herbes jaunâtres brulés par le soleil et surtout les kangourous morts au bord de la route. Nous avons gouté quand même à l'outback australien et à ses villages fantômes, on se serait cru par endroits au temps du far-west.

 

Pour résumer ces trois jours, nous nous sommes rendu dans un premier temps à Echucca au bord du fleuve le Murray. Spécialité du coin, son vieux port le long du fleuve où accostent encore des bateaux à aubes (bateau avec des grosses roues en bois sur les côtés pour le faire avancer), ce qui donne un côté " Tom Sawyer'' " et donne l'impression de voyager dans le temps.

Notre voyage dans le temps continu lors de notre deuxième jour de notre traversée du ''Nul-Part'', direction Bendigo où à la fin du 19ème siècle eu lieu la ruée vers l'or. Il n'y reste rien d'intéressant à voir à part les bâtiments de style Victorien donnant à la ville un côté très british.

Enfin pour notre dernière journée au milieu de ce " Nul-Part'' nous voyons enfin du relief au parc national des Grampians. Les montagnes sont très belles quand il fait beau mais pour nous le mauvais temps était au rendez-vous. Cela dit, ce fût un site sacré par les Aborigènes et nous avons pu apercevoir des peintures rupestres dans une grotte, peinture représentant des pattes d'animaux et leur vie de tous les jours à l'époque.

 

Après ces 1000 km, nous voilà arrivés au bord de l'océan à Portland. Notre programme pour ces quatre prochains jours, la mythique Great Océan Road. Bien que Portland ne figure pas sur l'itinéraire de cette route, le cap Bridgewater non loin de là reste un endroit merveilleux avec une vue sur l'océan en haut des falaises. De plus le coin, regorge de kangourous noirs, Véro redevient un enfant à chaque fois qu'elle en voit un (elle m'obligera à garder toutes les photos prises des kangourous sauf celles qui sont floues).

Bien sûr il n'y a pas que Véro qui retourne en enfance, pour moi c'est pareil lorsque je vois un koala surtout lorsque la rencontre est inattendue, ce qui fut le cas à Tower Hill reserve. Tower Hill est un ancien cratère volcanique, qui aujourd'hui abrite de nombreux animaux en liberté : kangourou, emeu (autruche australienne) et des koalas. Dès notre arrivée, nous sommes accueillis par un couple de emeus sur le parking. Avec ces longues plumes grises et son long cou, cetanimal ne nous fait pas rêver. Après une petite marche dans la réserve, nous apercevrons très vite et souvent des kangourous mais toujours pas de koala. Cet animal est assez difficile à repérercar il dort 18h par jour dans les arbres, le reste du temps il mange les feuilles d'eucalyptus (donc il mange également perché). Il touche donc le sol rarement, juste le temps de changer de perchoir. Au moment de quitter le parc sur la route de la sortie de la réserve, un homme au bord de la route, nous fait signe de nous arrêter et nous montre du doigt une boule de poils au sol : un koala réveillé, le rêve... L'homme ayant passé suffisamment de temps avec l'animal nous laisse seuls en tête à tête avec le koala. Le koala n'est pas très rapide dans ses déplacements ce qui nous permet de nous approcher de très près et même de le toucher. De plus nous sommes tombé sur un koala un peu feignant, cherchant des feuilles d'eucalyptus au sol. Un moment magique à côté de cet animal nounours (en réalité ses griffes longues et pointues ne donnent pas envie de le prendre dans ses bras).

 

Après ce moment inoubliable nous poursuivons notre chemin sur la Great Ocean Road. Direction les douze apôtres : amas rocheux dressés, solitaires, dans l'océan, prés du rivage suite à l'érosion de la falaise. C'est l'image de la Great Ocean Road. En réalité, il y en a sept et l'endroit est très touristique de style Disneyland mais l'endroit reste quand même magnifique.

Après les falaises, la deuxième partie de la route en direction de Melbourne est jonchée de plages aux sables blancs mais l'eau reste glaciale. Ce coin de l'australie est connu dans le monde entier pour ses plages et surtout pour ses vagues car c'est ici que le surf est né dans les années 60-70 et plus particulièrement au Torquay.

 

Trois jours sur la Great Ocean Road, c'est trop peu, nous aurions bien aimé rester un jour de plus sur cette partie de l'Australie.

 

Mais nous continuons notre route, direction Melbourne.

L'image qu'on nous avait donnée sur cette ville est d'une ville artistique. Nous serons vite servi avec notamment l'art street : des ruelles sont réservées au " Tag'' " mais rien n'avoir à ce qu'on peut voir en France, ici ce sont vraiment des œuvres d'art avec ses jeux de couleurs. Mais également des œuvres posées comme ça sans que personne ne la dégrade comme un vélo accroché sur un mur.

Au moment de notre passage, la ville de Melbourne organisée un événement culturel. Dans tous les coins de passage de la ville (place, pont...), la ville a mis à la disposition des passants des pianos décorés pour l'occasion. Ce qui permettait aux gens de se regrouper le temps d'un instant autour de l'instrument écoutant uninconnu jouer du Mozard ou du Bach. En France ce genre de chose me semble impossible : les pianos seraient vite mis hors-service.

Nous avons la chance d'être à Melbourne la veille du tournoi de tennis l'Open d'Australie, un grand Chelem comme Roland Garros. Nous avons pu rentrer dans le complexe sportif gratuitement et profiter un peu de quelques matchs de tennis et des entraînements dont celui de J. W. Tsonga.

 

Je profite de nos dernières heures en Australie pour faire un résumé de notre vie en van durant notre séjour dans ce pays.

Nous avions décidé de louer un Van afin de faire des économies sur le transport et le logement mais également car pour nous voyager en Australie rimait avec voyager en van, c'était notre trip. Ce qui est sur, c'est que nous étions libres de faire et d'aller où on le souhaitait, en revanche nos rencontres ont beaucoup diminué. Dormir dans un van tous les jours, rime aussi à trouver un endroit LEGAL (et si possible gratuit) où dormir. Pour cela pas de problème en Australie, nous avions un livre qui nous donnait tousles coins gratuits et autorisés pour le camping. Ces coins étaient en général très bien emménagés avec toilette et eau potable pour certain. Certains avaient même une douche mais cela se limitait à un campement avec une douche pour une région grande comme un département français. De plus le livre ne mentionne que des emplacements en dehors des grandes villes. Ainsi à Sydney et à Melbourne ce fut plus difficile et voir stressant (d'être hors la loi) pour dormir.

En plus du problème de la douche, pas de connexion internet. En pleine période de Noël pas facile de se connecter pour parler à la famille et la connexion limitée de chez Mc do ne nous suffisait pas pour le faire. On aurait pu dormir en auberge de jeunesse mais la plupart étaient pleines et très chères (déjà qu'on a payé assez chère la location du van).

Pour résumer, la Van se fut un bon trip mais il n'y a pas mal d'inconvénients (douche, internet, où dormir....) et c'est cher.

 

Ainsi, pour la Nouvelle-Zélande, voulant garder un peu cette liberté de mouvement, nous allons louer un véhicule mais cette fois-ci : une voiture...c'est moins cher, ça consomme moins puis on pourra plus facilement alterner camping (avec notre tente et réchaud achetés en Russie que je me suis trimballé en Asie sans jamais les utiliser) et des nuits en auberges de jeunesse avec douche chaude et internet.

 

 

Affaire à suivre en Nouvelle-Zélande.

 

Anthony

Envoyée le 13 janvier 2014 de Melbourne

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