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Chers lecteurs,


Après un passage de la frontière Russo-mongole sans problème, nous parcourons les 4 heures qui nous sépare d'Oulan-Bator en Taxi avec Dacha. Le paysage change radicalement, verdure à perte de vue, route en mauvais état mais goudronné (c'est un luxe en Mongolie mais ça on s'en rendra compte qu'après) et toutes sortes d'animaux au milieu de la route (chevaux, vache, chèvres...). 


Notre arrivée à Oulan-Bator a été comme me l'avait imaginé, du moins la sensation. Après avoir roulé en direction du sud, nous entamons un virage à 90° à gauche et là devant nous se présente la poussiéreuse capitale de la Mongolie. Après des kilomètres de verdure, on remarque vite la pollution au-dessus de la ville. C'est simple, 52% de la population de la Mongolie, habite à Oulan-Bator.


Et pourtant une fois à l'intérieur, je lui trouve un charme de grandes villes asiatiques avec ses buildings neufs en verre. Mais ce charme ne dure qu'un ou deux jours car la poussière et la pollution est là autour de nous, les nuisances sonores nous fatiguent en permanence.
Ce qui est impressionnant, Ã  quelques minutes de marche de la rue animée, goudronné Peace Avenue se trouve des quartiers de yourtes comme dans mon imagination.


Au programme de ces quatre jours Ã  Oulan-Bator, obtenir le visa chinois (il faut s'y prendre à l'avance), trouver une solution pour se rendre dans le desert du Gobi et enfin visiter la ville, si possible avec Amara notre contact en Mongolie.

 

Pour notre visa chinois, l'ambassade nous demande en plus des billets d'avion A/R, que nous obtiendrons (des faux mais c'est courant ici,???) dans un agence en ville, il nous demande une invitation de la part d'une agence chinoise ou d'un chinois. Après avoir parcouru la ville en long et en large (pas besoin de visiter la ville après ça ^^) pour trouver un agence voulant nous faire le fameux sésame mais rien à faire toutes refusent d'en faire une. Ils nous reste une dernière solution, demander à notre contact en chine d'en faire une. A notre grande surprise sa réponse fut positive et rapide. Malheureusement la perte de temps, nous empêche de faire notre demande de visa immédiatement car l'ambassade est ouverte le Lundi, Mercredi et Vendredi, et demain nous partons pour le désert de Gobi.

 

Après plusieurs Ã©changes avec d'autres voyageurs et pris des infos sur internet, nous avons vite pris conscient que nous ne pourrions pas y aller de notre propre moyen. Deux solutions s'offrent à nous : soit avec un tour-opérateur ou soit on loue une jeep avec chauffeur. Cette dernière solution, bien que nous offrant plus de liberté, à l'incovéniant que nous devant tout prévoir (nourriture, eau, carte, Gps...) et n'ayant pas le temps pour le faire (envie préssente de quitter la capitale et sa poussière), nous optons donc pour la prémière solution. Ã€ mon avis, moins couteuse (mais on y laisse un bras et la totalité de nos économies réalisées en Russie), elle a l'avantage de nous permettre de nous laisser porter par un guide. 

 

Bien que nous ayons de quoi nous occuper pendant c'est quatre jours à Oulan-Bator, nous sommes, quand même parvenue à visiter la ville. Nous, en France, nous avons Napoléon et eux en Mongolie, ils ont Gendis Khan et ça se voit. Des statuts et des dessins de lui de partout dans la capitale. La plus impressionnante statut de lui et sans aucun doute celle située devant le parlement. Nous aurons l'occasion de visiter la ville à d'autremoments puisque nous repassons par cette ville dans 7 jours après notre tour du désert de Gobi, en espérant cette fois-ci pouvoir rencontrer notre contact en Mongolie...

 

 

À bientôt

 

Anthony

Envoyée le 18 juillet 2013 de Oulan-Bator

Mongolie

Cher lecteur; 


Nous sommes partis pendant une semaine dans le désert du Gobi. Nous y sommes allé avec un tour-opérateur car de toute manière, il est assez difficile de s'y rendre seul. Nous avons pu le constater pendant notre périple, car nous avons roulé 95% du temps sur des pistes, sans aucune signalisation ; Donc, c'est clair le chauffeur Ã  intérêt d'être expérimenté ! 
Nous avons hésité à prendre ce tour, mais nous avions envie de voir le Gobi et puis on s'est dit que ça nous fera des vacances, nous nous laisserons guider. Et franchement, notre liberté nous a manqué. Comme dit Antho : « on n'est pas allé au Gobi, on nous y a emmenés Â» et ça change tout ! 
Le tour a donc commencé vendredi, officiellement départ à 9 h, mais il était bien 10h ! Et oui les Mongoles ne sont pas les rois de la ponctualité. 


Nous étions six. Notre guide/cuistot, le chauffeur et deux Coréennes : Sora et Sooyan. Elles étaient sympas et agréables (même si l'une d'entre elles parle trop fort) et elles font « ooohhhh Â» devant tout et n'importe quoi ! Le cliché pour moi, mais qui est donc vrai. L'une d'entre elles Ã©tait très coquette, elle se maquillait plusieurs fois par jour en plein milieu du désert où pour vous dire en 7 jours de périple, nous avons eu droit à une seule douche ! Ahhh l'apparence ! 


Le tour en lui-même Ã©tait rythmé par beaucoup de route pour atteindre ce fameux Gobi et voir les différents sites. Nous nous arrêtions en pleine nature pour le « lunch time Â» comme dit notre guide ; C'est elle qui préparait les repas ; en un rien de tempsnous avions un plat chaud et copieux. Ces arrêts étaient l'occasion pour nous d'admirer le paysage, de croiser des troupeaux de moutons, de chevaux ou encore de chameaux. Le soir, nous dormions sous une Ger (Yourte), celles-ci étaient plus ou moins spacieuses, avec parfois l'électricité ! 


Ce tour nous a permis de se rendre compte de l'immensité du territoire Mongole. Nous avons vu le Gobi avec toute sa diversité, c'est-à-dire des plaines, des montagnes, des dunes... Ã€ ma grande surprise, il ne faisait pas une chaleur extrême mais il y avait pas mal de vent. 
Nous avons ainsi pu voir les gorges de Yolyn Am réputées pour le glacier qui se forme et qui reste toute l'année afin pas en Juillet etAoût, dommage mais nous avons pu nous balader et observer des pikas, c'est des petites bêtes qui ressemblent à des souris, elles sont trop chou ! 
Nous avons également vu, de jolies falaises calcaires blanches, nous avions l'impression d'être sur la lune, c'était sympa. 
Nous sommes aussi allé voir les dunes de Khongoryn Els qui forment un couloir au milieu du désert ( 100 km de long et 6 km de large), Nous avons fait l'ascension de l'une d'entre elles et la vue était splendide. Ã‰videmment, nous avons eu le droit à un tour de chameau, ben oui on est dans un désert ! Nous avons également vu un canyon où ont Ã©té découverts des Å“ufs de dinosaures ; Il y aurait encore des fossiles...
Enfin nous sommes allé voir les ruines d'un temple, c'était agréable ; et bien sûr, nous avons eu du temps pour observer le paysage qui défilait devant nous. 


Lors de notre périple, nous avons fait la connaissance de deux Français : Benjamin et Quentin ; Ils font le même tour que nous mais avec un autre opérateur ; Nous pensions les croiser quelques fois car mine de rien, tous proposent les mêmes visites ; en fin de compte, nous avons passé quasiment la totalité du tour à se suivre. Ã‡a nous a permis de bavarder et d'échanger ; Ils font un tour d'Asie pendant six mois. 


Ce tour fut aussi l'occasion de gouter au lait de jument et au fromage de chameau ; C'était une expérience, mais personnellement je n'ai pas aimé. C'est très fort. 
Nous avons pu aussi assister Ã  l'installation d'une yourte, nous avons même mis la main à la pâte ! C'était chouette. 


Notre guide nous a proposé de l'accompagner voir un chaman ;en effet, en Mongolie le chamanisme est très présent. Nous avons assisté à une vraie consultation. C'était très théâtral mais intéressant. Le chaman qui était une femme a mis un bandeau, enfilé un masque et a commencé à se mettre en transe , sa voix a changé. Elle a bu du lait, du thé, fumé une cigarette... Ensuite, elle a écouté notre guide qui lui a parlé de ses douleurs aux genoux et là elle lui a procuré des « soins Â»! c'était marrant de la voir faire, elle chassait le mal en quelque sorte ! 


Voilà, après 7 jours, le tour se termine, nous sommes de retour à Ulan Bator pour préparer la suite de notre séjour. 

 

 

À bientôt 

 

Véronica

Envoyée le 26 juillet 2013 de Oulan-Bator 

Cher lecteur;


Après un séjour Ã  nous laisser guider dans le Gobi. Je reprends les rênes de notre voyage. Mais avant de partir vers d'autres horizons mongols, nous devons faire notre demande pour le visa chinois.
Tout était près avant notre départ pour le Gobi, il nous manquait seulement l'invitation que nous attendions patiemment Ã  notre retour du Gobi. Notre contact ne nous a pas laissées tombé. Nous avions notre invitation. Nous nous présentons devant l'ambassade le lendemain, devant nous, des touristes de toutes nationalités se font refouler faute de ne pas avoir une invitation. Notre tour arrive et en bon élève notre dossier est validé en partie. En effet, nous souhaitions obtenir un visa double entré pour pouvoir aller à Hong Kong et revenir en Chine. Malheureusement, le double entrée n'est pas acceptée, nous nous contenterons d'une simple entrée.
Nous sortons donc heureux de l'ambassade, une semaine à attendre et nous aurons nos visas chinois. Mais sur le chemin du retour, le doute s'installe, on ne sait pas pourquoi mais nous ne savons pas si nous obtiendrons 30 jours en Chine ou seulement 15 jours. Pas le temps de perdre notre temps avec ce type d'interrogations. Nous continuons notre périple en Mongolie.

 

Prochaine étape, le lac blanc dans la réserve naturelle de KhorgoTrekhiin Tsagaan Nuur. Comme pour le lac Baïkal en Russie. Nous pensons camper au bord du lac donc avant notre départ nous achetons dans la capitale, carte, gaz et nourriture pour pouvoir tenir quelques jours.

 

Après deux semaines en Mongolie, nous vivons enfin notre première expérience de transport en commun avec les locaux et ça me manquait. Au programme 12 heures de bus sur une vraie route et avec un arrêt dans une sorte d'aire de repos avec unedizaine de restaurants et de supermarchés le long de la route. Finalement les 12 heures de transport se transforment en 8 heures. Quelle surprise ! Moi qui croyais qu'en Mongolie les gens étaient toujours en retard et que les mongols n'avaient pas la notion du temps. Nous arrivons en fin d'après-midi, à Tsetserleg, jour du Naadam local, ça tombe mal pour nous, la fête est finie et nous n'en profiterons pas.

 

Nous décidons de rester peu de temps dans cette ville et dès le lendemain nous partons au bord du lac. Pour y aller 4 heures de route dans un minibus. Par chance pour nous, nous voyagerons en compagnie d'un vieux Mongol avec sa barbichette lui donnant un air de l'oncle Hô (je vous en reparlerai peut-être au Vietnam), d'une femme et de ses deux filles dont la plus grande (4 ans) nous a gentiment offert sa grosse commission juste au moment de partir, elle garda d'ailleurs ses excréments dans son pantalon tout le long du trajet... Boujour l'odeur !
Ce voyage nous permettra de goûter à l'hospitalité mongole et la seule (malheureusement) du voyage. Lors de la pause-déjeuner sans demander quoi que ce soit, nous nous sommes vu offrir le repas de midi par notre petit vieux.

 

Arrivées Ã  Tariat, nous entamons une longue marche pour rejoindre les bords du lac, en longeant une ancienne coulée de lave (qui donna naissance au lac). Ã€ la vue du lac, nous sommes surpris et déçu par sa petite taille par rapport au lac Baïkal. En nous retournant, nous apercevons le cône du volcan que nous avions longé durant le trajet et que nous ne pouvions voir. Curieusement nous sommes plus intéressés par ce volcan que par le lac.

 

Pour notre première nuit, nous plantons notre tente proche des camps de yourtes pour touristes (à notre plus grand malheur, il y n'a que de ça autour du lac). Nous arrivons cependant Ã  trouver un côté sympa à l'arrivée d'un troupeau de Yacks. La nuit fut moins froide qu'autour du Baïkal mais pluvieuse. Nous nousréveillons pour vérifier l'étanchéité de la tente et au petit matinnotre chère petite tente russe avait réussi le test de la pluie. Nous étions au sec mais fatigués et gelés.
Après 4 heures de marche et avoir parcouru la partie nord du lac, nous faisons demi-tour. Peu enthousiasmé par ce lac avec son goût de terre et une météo trop capricieuse nous décidons de camper une dernière nuit sous la tente et de rentrer sur Terslerleg le lendemain. Notre dernière nuit fut glaciale. Avant de reprendre le bus, nous entamons l'ascension du volcan au petit matin. Tout en haut nous retrouvons un petit bout de tranquillité que le lac ne nous a pas procuré. Après une descente dangereuse où nous aurions pu y laisser nos chevilles, nous reprenons un minibus à la vraie cette fois-ci : 11 personnes pour 8 places.

 

Ce soir, nous profitons d'un restaurant tenu par des Anglais pour nous faire un petit plaisir avec un plat occidental : lasagnes pour Véro et spaghetti bolognaise pour moi.
Demain, retour à Oulan-Bator pour connaître le verdict de l'ambassade chinoise : 15 ou 30 jours. Dans tous les cas nous partirons une semaine avant de la Mongolie.

 

 

Rendez-vous en Chine

 

Anthony


PS : Lors de mon séjour de la capitale mongole, j'ai subi la seconde attaque de moustique de mon périple. Résultat, comme à Moscou, une vingtaine de piqures sur chaque bras et mains. Les moustiques des capitales m'aiment bien, je ne suis pas pressé d'arriver à Pékin.

Envoyée le 01 aout 2013 de Terslerleg 

Cher lecteur; 


Nous voilà de retour à Oulan-Bator pour quelques jours encore. Il nous reste plusieurs choses à faire.
La toute première est d'aller à l'ambassade de Chine pour récupérer nos visas. Combien de jours aurons-nous obtenus? ! là est la question ! Et grand soulagement, nous avons 30 jours devant nous. Ce qui signifie, la possibilité de partir plus tôt de Mongolie, chose que nous allons faire. 


D'ailleurs, voici la deuxième chose que nous avions à faire : acheter notre billet de train pour quitter Oulan-Bator et aller à la frontière Chinoise. Jusque-là, tout paraît simple, nous sommes même larges pour réserver nos billets. Mais en fait ça sert à rien d'être « large Â» car on ne peut pas réserver à l'avance nos billets ; Eh oui, au guichet, on nous a dit qu'il fallait venir le matin même du départ pour acheter les billets, soit à 6h du matin. On aurait pu réserver si on prenait un train plus cher mais nous voulions poursuivre notre aventure avec les locaux et aussi ne pas payer trop cher ! 
6h du matin c'est vraiment 6h ou on peut venir un peu plus tard .!!! On a demandé à la gérante de notre guesthouse qui nous a dit qu'il fallait bien y être à 6h ; nous voilà donc arrivés devant la gare à 5H50, et nous n'étions pas les seuls ! Ã€ 6 h, les guichets ouvrent et nous nous retrouvons écrasés sous des dizaines de Mongoles venant eux aussi chercher leur billet ! C'était la ruée ! Ã€ 7 h, nous arrivons au guichet et là c'est le drame : il n'y a plus de billet. Il faut revenir le lendemain. Mais le lendemain ça sera la même chose ! 
Mais c'est sans compter sur Antho qui avec ses yeux de chien battu est arrivé à attendrir la dame ; Elle a pris nos passeports et nous a fait patienter ; quelques longues minutes plus tard, nous étions en possession de nos billets pour la frontière ! Ouf ! 


Nous avons profité de nos derniers jours à Oulan-Bator  pour enfin rencontrer Amara, notre contact en Mongolie. Celle-ci est une jeune professeur de français. Nous avons passé une après midi ensemble, nous avons discuté de la Mongolie, tout en nous baladant en ville. Amara nous a fait visiter son école. C'est un beau bâtiment en plein centre-ville. Celui-ci était vide car c'est aussi les vacances scolaires. Nous avons profité de cette rencontre pour parler du projet et pour lui transmettre les lettres destinées à ses élèves ainsi que les vidéos. Nous sommes également allé chez sa tante où nous avons pu boire un thé au lait, boisson locale délicieuse. La rencontre avec Amara fût brève mais intéressante. 


Nous avons également profité de notre passage à Oulan-Bator, pour aller à l'Alliance Française. En effet, nous les avions contactés afin de trouver des contacts pour mener à bien notre projet ; Nous avons eu une réponse très tardive de la directrice qui nous a néanmoins proposé de passer à l'alliance même si cette dernière serait en vacances sur cette période. Nous nous sommes donc décidés à y aller et c'était agréable d'arriver dans un lieu dédié au Français et à sa culture ! L'alliance donne majoritairement des cours aux adultes mais il y a quelques enfants ; Ainsi, nous leur avons également laissé quelques lettres.


Il est temps pour nous de prendre le train, nous commençons Ã  avoir l'habitude. Nous sommes donc comme je disais avec les locaux, c'est-à-dire en assis dur. Normalement, il y a assez de place pour que l'on puisse se coucher mais nous étions trop nombreux. J'ai pu dormir un moment sur une couchette mais malheureusement pas Antho. L'une de nos voisines de banquette parlait un peu anglais, elle a tenté de nous apprendre un jeu de cartes locales mais on n'a pas tout compris. Ensuite, c'est nous qui les avons initié aux uni. Mine de rien, ce jeu est simple et il plaît ; Comme en russie, c'était un petit moment sympathique. 


Après 14 heures de train, nous voilà à la ville frontière, il nous faut maintenant trouver une jeep pour traverser ; Nous avons déjà dû changer nos roubles en Yuans à la banque locale c'est-à-dire Ã  la fenêtre d'une voiture, en jouant des coudes pour obtenir le change. Ensuite, nous avions trouvé une jeep mais le chauffeur nous a dit qu'il fallait attendre (que la jeep soit pleine) et il fallait attendre longtemps ; Nous avons donc changé nos plans et pris un bus. Peu de temps après nous avons vus passer notre jeep pleine, direction la frontière ; alors soit on n'a pas compris ce qu'il nous a dit, soit on n'a pas compris. En tout cas sur le coup, on était bien dégouté. 
Bref, nous sommes donc dans le bus, le passage côté Mongole a été rapide et simple, à la différence du coté chinois où il y avait une accumulation de jeeps. Toutes les unes derrière les autres, en tout cas au début car ensuite on se croyait à la fête forraine, aux auto-tamponneuses très exactement. C'était hallucinant, les jeeps se « poussaient Â» littéralement, rien à foutre de la carrosserie ; Nous avons pu assister au spectacle via le bus où nous étions tranquilles. Le spectacle était rigolo mais je n'aurais pas fait la fière si j'étais dans une jeep.
Le passage de la frontière fut long et nous ne sommes pas encore à Beijing ! En tout cas, le changement est radical avec la Mongolie. Le paysage reste le même, nous sommes dans le désert du Gobi mais côté Mongole, il n'y a pas grand-chose alors que côté chinois, nous nous retrouvons dans une ville très développée. 


Nous prenons un bus de nuit pour rejoindre Beijing et nous voilà en Chine pour un mois. 

 

 

À bientôt 


Véronica 

Envoyée le 06 août 2013 de la frontière Sino-mongole

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